une promotion... 1965-1968

deux guides touristiques en vente dans les années 1965-1970 (collection JP Naud)

à gauche : format 12,8 x 17 cm - Editions de La Baconnière - Neufchatel

à droite : format 11 x 15,5 cm- 122 pages -  Editions du Messager Boiteux - Vevey - 1958

Le messager boiteux de 1966 - format 16,5 x 21 cm (collection JP Naud)

Christian Bonvin, le valaisan de notre groupe,  nous a quitté le 9 juillet 2018, après de longs mois de graves problèmes de santé . Il était présent en Auvergne, en 2015, pour le Cinquentenaire de notre promotion : les photographies ci-dessous ont été prises à cette occasion.

(photo Alain Saintagne)

Christian Bonvin, dans les locaux de l'imapec à Volvic - Puy-de-Dôme - France)

Christian Bonvin et sa compagne Faustine, à Volvic

photo JP Naud

Il fut aussi élève de notre promotion, durant quelques semaines...

Michel Aebischer, à droite, avec son cousin, de passage à Châteauroux (36)
chez Jean-Pierre Naud...qui était absent !
(photographie Yvette Naud)

Danielle Peret - photo JP Naud

Note de l'auteur de ce blog : nous avons perdu de vue Danielle Peret ! 

Si l'un ou l'autre d'entre vous ou un visteur de ce blog a de ses nouvelles, merci de m' en informer.

Yorick Delaunay/en haut, de gauche à droite : en 1956 - en 1969 - en 2002
en bas, de gauche à droite :  en 2011 - en 1968, devant le château de Chillon

Je suis né le 2 mai 1944, au soir d’une journée de bombardement sur Toulouse par l’aviation américaine.  J’ai vécu deux ans dans la ville rose chère à Nougaro avant que mes parents ne choisissent de partir vers le Nord de la France. C’est à Roubaix que mon père médecin choisit de s’établir et de participer à la création de la Médecine du travail, ce qui lui prit plus de 25 ans pour couvrir tout l’hexagone.J’ai fait toutes mes études au Lycée Gambetta de Tourcoing datant de Napoléon III avec un petit détour par  l’Institut Colbert de la même ville.Ma mère était infirmière et aida mon père lorsqu’il soignait les gens dans la région de Castres, pendant la guerre. J’ai six sœurs… et deux fois plus de beaux-frères car elles se sont divorcées et remariées pour la plus part.J’ai fait 16 mois de service militaire en Allemagne (Baden-Baden, Manheim- Seckenheim)

Ensuite j’ai présenté deux concours d’entrée, celui de l’école de l’école photo de la rue de Vaugirard de Paris (manqué de peu) et celui de Vevey qui scella ma destinée pour les trois ans à venir !

J’ai moi aussi connu l’aventure de la Camargue la deuxième année où nous inaugurions avant la lettre le procédé de « photo en une heure » qui exista plus tard. J’ai d’ailleurs lancé le premier Mini-lab du Canton de Vaud à l’entrée du pont Bessières à Lausanne. Toutefois ma première place de travail, après avoir battu le pavé Parisien, se situa en Gironde près de Bordeaux, comme Photographe industriel au CEA. (base de Marcheprime.) J’ai rallié la Suisse afin de m’y marier. J’ai occupé plusieurs places dans la vente (entre autres chez « la mère Brandt ») avant de rallier le CHU du Canton de Vaud comme tout premier technicien en Audio-Visuel Médical. Puis je fus un temps indépendant avant d’être gérant de Fotoquick (le mini-lab en question)) que je rachetais par la suite et qui devenait Photo Studio 60’.  Après 13 ans, j’ai continué quelques temps à Lutry pendant 4 ans… puis fermé. La crise ayant eu raison de moi, j’ai connu une longue période de chômage.

 Aujourd’hui, j’ai rejoint le mouvement des Verts Helvétiques et je suis Conseiller Communal de ma Commune. Je collabore avec un jeune réalisateur sur des projets cinématographiques et dans l’écriture de Scénarios. Mes enfants sont casés, j’habite un endroit magnifique sur le lac Léman et je suis un retraité heureux.Mais tout les jours je me dis que la vie passe trop vite !... c’est quand on se retourne que l’horizon paraît très loin !

(propos de Yorick Delaunay - informations communiquées le 13 mai 2012)

Yves Grandjean (photo JP Naud)

Infos à venir...

Jacques Burkhardt

Jacques Burkhardt est né le 19 février 1948 à Morges (Suisse). Il est décédé en décembre 2017.

Les portaits ci-dessous ont été réalisés en 2015, à Volvic (Puy-de-Dôme - France), lors du Cinquantenaire de la promotion

Jacques vu par Michel Cresp

Jacques vu par Alain Saintagne (à gauche) et Patrice Tourenne (à droite)

Jacques (entouré de ses amis Joe et Bernhard Schaerer)

par Yorick Delaunay

Jacques et Jean-Pierre Naud

vus par Pierre Lequien

Jacques, "croqué" par Pierre Lequien

lors du Cinquantaire de la promotion, en Auvergne

Jacques Bukhardt dans son studio en 2003

(photo Michel Cresp)

Adieu l'ami...

Patrice Tourenne / à gauche : en 1946 - au centre : en 1966, photo JP Naud

Patrice Tourenne est né dans le centre de la France, en 1944. Issu d'un milieu artistique, il se lance parallèlement dans la musique de jazz et la photographie. Il travaillera  pour des grandes marques de luxe, pour la réalisation de leurs catalogues et plaquettes de prestige, collaborant avec des marques comme Hermès, Lalique, Lancel, Céline,Burberry's,Mercedes Benz, Citroën, BMW, Toyota... et des magazines comme Harper's Bazaar, Les Coulisses de la Mode, Joyce, Vogue décoration, Le Figaro thématique, L'Oeil, Eclat...
Son choix de la capture d'image par la chambre grand format lui permet, par des procédés d'expositions multiples, de partiquer le photomontage avant l'avènement du numérique auquel il adhère immédiatement, prolongeant ainsi ses possibilités de création et avec des outils d'une grande précision.

à voir :
www.patricetourenne.fr

Pierre Lequien /photos JP Naud)

Infos à venir...

à voir :
www.communewidehem.fr
www.ateliervitrail.net
www.gitewidehem.fr

Alain Saintagne

En 1967, je suis allé faire mon stage de 6 mois chez Edgardo Nessi à Lausanne.
Quand celui-ci a été nommé directeur pour Cibachrome Italie, il a fermé son studio, et m'a placé chez Stamm&Saxod. A la fin du stage, pendant lequel j'avais beaucoup appris, ceux-ci m'ont proposé de rester comme salarié, c'est pourquoi je ne suis pas revenu à l'école.
Je suis resté jusqu'en mai 68…., date à laquelle je suis parti à Lyon pour ouvrir un studio près de la Place Bellecour. J'ai travaillé à Lyon 2 ans, et j'ai revendu mon studio à une agence de publicité. Ensuite, j'ai fait une grande ballade de découverte européenne avec Christian Chollet pendant un an. Puis je suis rentré à Paris, où j'ai travaillé dans la photo commerciale pour le studio Terzian. (catalogues VPC ).
Fin 1973, je suis parti en Iran, pour Bouygues, avec un contrat de 6 mois pour photographier leur immense chantier du Stade Olympique de Téhéran. Mais je suis resté 5 ans en Iran, où j'ai ouvert une agence d'édition et publicité. Et où j'avais fait mon trou. J'ai du partir avec la révolution de Khomeni en 1978.
Je me suis retrouvé à Nice avec des amis iraniens. Là j'ai rencontré une jeune femme niçoise avec laquelle je me suis marié. Nous avons ouvert une petite boite d'édition publicitaire.
En 1984, nous sommes partis nous installer à côté de Montpellier, ayant eu l'opportunité de monter une entreprise de fabrication et d'installation de stands d'expositions.
Donc  peu de photo. Hélas. Mais beaucoup de travail pendant 30 ans, dans toute l'Europe.

A la date de ce jour, Edgar est en Thaïlande, à la frontière pour le Myamar...
Infos à venir...

Jean-Pierre Naud/ à gauche: en 1946

Jean-Pierre Naud photographié par Patrice Tourenne

Je suis né en 1946, dans un village de l'Indre. Après Vevey, j’ai effectué mon service militaire en Allemagne (j’étais photographe au sein du 19^e Groupe de Chasseurs Mécanisés à Villingen), puis je me suis marié et je suis venu habiter en Auvergne. A Riom, j’ai fait la connaissance d’un photographe, Pierre Jaffeux, qui effectuait des recherches sur les techniques de virages et teintures photographiques d’épreuves noir et blanc. Nous avons mis au point le procédé Colorvir. Et, dérivant de ces techniques, nous avons mis au point une technique de photocéramique inaltérable sur lave de Volvic. Pendant cette même période, je suis allé installer et mettre en route un laboratoire photographique intégré au sein d’un cabinet d’ophtalmologie à Albi (une année passée chez le Dr Amalric), et j’ai fait des recherches sur la photographie Kirlian. Puis je suis intervenu comme photographe au sein de l’Ecole d’Architecture de Volvic, avant d’assurer la co-gestion de cet établissement. Durant deux années, j’ai été responsable d’une formation professionnelle de photographes (préparation au CAP). Enfin, j’ai assuré la co-gestion de la Maison de la Pierre de Volvic (site touristique). Je suis actuellement co-responsable de la gestion de l'IMAPEC (Institut des Métiers d'Art de la Pierre et de la Constrcution) à Volvic.

à gauche : livret d'apprentissage de JP Naud - à droite : Réglement de l'école

certificats de stage

Si vous vous souvenez, nous avons été accueillis la première fois chez Agfa, par un certain Dr Gündermann. Faisant un tour de table, il nous a demandé à chacun d'où nous venions. Quand je lui ai dit que je venais de Châteauroux, il m'a demandé de revenir le voir en fin de journée. Là, il m'a dit qu'il connaissait bien la région où il avait séjourné en qualité de militaire allemand pendant la seconde guerre mondiale. Et il m'a dit : J'ai sauvé des français qui habitaient un château en leur conseillant de partir car je savais que le château allait être bombardé.Quand il m'a dit le nom du château...ce fut une surprise : le château en question était habité par des amis proches de ma mère. Je me suis renseigné un peu plus et je lui ai écrit quelques mois plus tard en lui joignant un mot des personnes qu'il avait sauvé. Il a été très touché et a continué à correspondre avec eux pendant plusieurs mois! C'est lui qui a signé le certificat de droite ci-dessus.

Catherine Inglin aux côtés d'Alain Saintagne, en prise de vues, au bord du lac/ photo JP Naud

…Avant d’être licenciée économique, j’ai travaillé neuf ans à la Radio Suisse Romande, à Genève, comme opératrice son, puis assistante de mise en ondes au Radio-Théâtre. Une spécialisation qui m’a posé beaucoup de problèmes pour retrouver un emploi, ce poste n’existant que dans les radios nationales.

Avant, j’ai travaillé comme commerciale au sein de l’entreprise familiale, tout en faisant des piges au journal La Dauphiné Libéré (photos + textes)

Juste après l’école de Vevey, je suis entrée à la Télévision Suisse Romande en tant qu’opératrice banc-titre, poste que j’ai quitté pour aller voyager par la route et la piste jusqu’au sud de l’Inde (neuf mois), puis en Afghanistan (quatre mois). Aventure fantastique dont je suis revenue non pas dépaysée, mais déphasée…

(extrait d’une correspondance de Catherine Inglin, adressée à Jean-Pierre Naud le 4 mai 1995)

Dominique Lamy/ à gauche : photo JP Naud - à droite : avec Jean-Pierre Naud, à Munich, en 1967

Dominique Lamy (photo Patrice Tourenne)

Dominique Lamy était le frère jumeau de Jean-Pierre Lamy (1945-1970), acteur de théâtre (Au théâtre ce soir) et de cinéma (il a joué notamment dans Mon oncle Benjamin)

Infos à venir...

...en 1970 Dominique avait besoin d’ un Assistant pour 1 semaine pour un catalogue de vente par correspondance “Anne Arbor“grâce à une copine Paulette Desurmont que j’avais connu à Chamrousse elle me met en relation avec lui et je suis resté 4 ans son assistant il m’a attendu 1 an pour cause de service militaire devenu cameraman je suis resté en contact avec lui et je l’ai vu une dernière fois quand il habitait a Paris dans le 17 eme place Malesherbes...

signé : Beranger

 …En 1967, pour nous faire quelque argent de poche, durant les vacances scolaires, nous recherchions un petit boulot. Philippe Holder  nous proposa de travailler en qualité de photo-filmeurs aux Saintes Maries de la Mer, pour réaliser des prises de vues des touristes qui effectuaient des promenades à cheval. Une véritable aventure !  Nous y étions Patrice Tourenne, Dominique Lamy, sa femme Danielle, Pierre Lequien, Edgar Leuenberger, Christian Cholet et moi-même.
Les véhicules (DS, motos tous terrains), le matériel (plusieurs Nikon, dont un avec dos de 250 vues au départ, très vite abandonné) ne faisaient pas défaut, bien au contraire, mais les locaux étaient plus que rudimentaires. Quand à l’hébergement promis, il s’avéra plus que rustique : des écuries à chevaux, sans porte.
Le  jeu consistait à effectuer des prises de vue au moment du départ des promenades à cheval, promenades dont la durée tournait autour de vingt minutes, et au retour de celles-ci de vendre les tirages noir et blanc 13 x 18 cm. Une organisation se concrétisa assez rapidement : Christian Cholet et moi-même assurions le travail de laboratoire, tandis que les autres assumaient les missions de prises de vue et de vente…

(propos de Jean-Pierre Naud)

…Quand j’ai quitté Lyon, je suis venu à Lausanne,  j’ai pris un appartement rue Cheneau de Bourg et j’ai travaillé pour un décorateur qui avait besoin de photos de ses chantiers un peu partout en Europe. Christian Chollet est venu me rejoindre et on a vadrouillé en Allemagne, en Hollande, en Italie, la fête et un peu de photos de mode pour des fabricants de Munich…

(propos d’Alain Saintagne)

debriefing dans un bar de Rivaz - de gauche à droite : Olivier Chanson - Jean-Pierre

Blanchard - Jacques Burckhardt - Christian Bonvin - Bernhard Schaerer - Jean-Pierre Naud

Michel Cresp - Christian Chollet (photo Patrice Tourenne)

Infos à venir...

1995

en 2009 - de gauche à droite : Christian Bonvin - Pierre Lequien - Yorick Delaunay -
Yves Grandjean  - Michel Cresp - Patrice Tourenne

en août 2010 - au Musée Gianada à Martigny - archives Y. Delaunay

en juillet 2013 - à Martigny

(de gauche à droite :Yves Grandjean - Olivier Chanson - Yorick Delaunay

Edgar Leuenberger - Christian Bonvin - Bernhard Schaerer - Michel Cresp

et Jacques Burkhardt)

Jean Schlemmer, né en 1913, est le fils de Rodolphe Schlemmer (1878-1972), photographe qui avait ouvert le plus grand studio de photographie à Montreux
C'est chez son père que Jean Schlemmer fit son apprentissage.Il reprit ensuite l'affaire familiale.
Jean Schlemmer était l'ami du peintre Constantin, dit Kostia, Terechkovitch (1902-1978)
Jean Schlemmer s'est retiré à La Croix-sur-Lutry en 1977. Une partie des fonds Schlemmer se trouve au Musée de l'Elysée à Lausanne.

photo Jean Schlemmer (pour carte de voeux 1967) (collection JP Naud)

Jean Jeanneret - à gauche : autoportrait - à droite, avec Pierre Lequien

Jean Jeanneret, né en Suisse romande, est double national (France et Suisse). Il a perdu sa mère à l'âge de 13 ans et a été elevé par un oncle et une tante. A l'âge de 18 ans, il prend la mer, à Sète, pour quatre années dans la marine marchande de haute mer. Elève officier, il est contraint d'abandonner la marine, après un grave accident du à la rupture d'un cable d'acier. Il rentre alors en Suisse où il intègre l'Ecole de Photographie de Vevey, sous l'enseignement de Gertrude Fehr. Il ouvrira un atelier photo à Neufchâtel, puis à Colombier, travaillant pour la mode et la publicité et effectuant recherche et développement de techniques nouvelles. Après avoir enseigné à l'Ecole de Photographie de Vevey, il est engagé par la société de cinéma Cadia TVR à Lausanne. Puis il vient à Paris avec un court métrage commandé par la société Films Sauvages. Sa renontre avec René Vauthier marque véritablement ses débuts de carrière de cinéaste : Métamorphoses (fiction - court métrage, en 1983) - Bonnes gens (fiction - court métrage, en 1984) - Mais (animation, en 1985) - La roue : à la ligne (animation, en 1986) - Progrès (animation, en 1987) - Le combat des reines (documentaire, en 1995) - Nehaj (long métrage, en 1994) - A l'ombre d'un vrai (en cours à cette date)...

...Déjà enfant, j'avais abordé la photographie comme un moyen, une technique permettant la création d'images autrement. Cela avait commencé avec le développement accidentellement raté du premier film que j'avais développé, négatif mal mené, collé par endroit, mais où les visages apparaissant ainsi avaient été un choc : je regardais ceux qui m'entouraient comme derrière un écran. j'espérais (j'espère encore) trouver l'expressiob de ce qu'on appelle la réalité...

(propos de Jean Jeanneret)

1963                deux ouvrages aux Editions du Griffon, à Neuchâtel : Le Landeron et Saint Ursanne
1964                lauréat du concours Alu-Suisse et du concours de la Bourse fédérale des arts appliqués - réalisations décoratives à l'Exposition nationale suisse
1965                lauréat du concours de la Bourse fédérale des arts appliqués
1966                lauréat du concours de la Bourse fédérale des arts appliqués - représentation de la Suisse au Prix Nièpce International à Paris - il devient professeur à l'Ecole de Photographie de Vevey
1967                importante décoration murale extérieure à Neufchâtel - exposition au Musée Réattu à Arles
1975                décoration du pavillon Terre et forêt pour l'Exposition Nationale Suisse (120 m2 sur toile photographique)
1977                décoration du hall visiteur de Philip Morris (mur d'images -tirages sur aluminium polymérisé)

à voir
www.jeanjeanneret.fr/cinéma.html

Jean-Pierre Blanchard / en haut et en bas, à gauche : photo JP Naud - en bas, à droite : d'après un Polaroïd...qui a mal vieilli !

1968 - de gauche à droite : Jean-Pierre Naud - Jean-Pierre Blanchard - Michel Cresp -

Dominique Lamy  (photo Patrice Tourenne)

Jean-Pierre Blanchard a été enseignant à l'école du 1er novembre 1965 au 17 octobre 1969. Il a réalisé de nombreuses photographies pour Nestlé et pour les CFF (Chemins de Fer Fédéraux)

photo Jean-Pierre Blanchard (collection Jean-Pierre Naud)

carte informatique de l'élève Jean-Pierre Blanchard à la

Famous Photographers School (collection Michel Cresp)

Jean-Pierre Blanchard était fan des américains en général (il avait beaucoup d'actions Kodak) et de l'école FPS (Famous Photographer School) en particulier, où il était élève. Par le hasard de la vie, je me suis retrouvé prof dans cette école, à Monaco, de 1971 à 1975. C'était une école par correspondance, et, à Monaco, on traitait tous les élèves de langue française, dont la Suisse bien entendu.Jean-Pierre Blanchard était décédé à cette époque, mais j'avais fait ressortir sa fiche informatique par curiosité. La voici...en hommage à un prof si sympathique qui nous a transmis des valeurs et un enthousiasme pour la photographie dont il ne s'était jamais départi, malgré sa maladie.

(correspondance de Michel Cresp, le 3 janvier 2013)